Reprise des cours le 2 septembre 2024

Les arts martiaux continuent de grandir – Article – La Dépèche

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Le président Philippe Sorignet (à gauche) et le secrétaire Eric Sierra, habillés aux couleurs du club, présentent le calendrier 2017 de l’association./Photo DDM.

Bien installé dans le gymnase d’Andromède, le BAM (Blagnac Arts Martiaux) poursuit son évolution et son développement. «Nous comptons actuellement 250 adhérents, soit autant qu’à la fin de la saison dernière, en juin. Mais comme nous accueillons de nouveaux membres, tout au long de l’année, quels que soient l’âge et la discipline, nous prévoyons une augmentation conséquente de nos pratiquants», explique Philippe Sorignet, à la tête du club depuis 2012.

Une croissance qu’il attribue à plusieurs raisons. «Tout d’abord l’évolution démographique de la ville, et notamment le développement de l’éco-quartier d’Andromède, dans lequel est localisé notre dojo, mais aussi une attractivité accrue du fait de notre offre diversifiée», assure-t-il.

Et Une mutation toute en douceur effectuée dans le même temps. «Après le départ de l’un de nos professeurs, nous avons recruté deux enseignants fort connus dans leur discipline respective, Muriel Almunia, en judo (cinquième dan obtenu en juillet dernier), et Jean-Louis Mourlan, en ju-jitsu. Ce dernier a pris également en charge un cours de self-défense, que nous avons initialisé à la demande de nos adhérents. Sans donner forcément accès à la compétition, il regroupe une quinzaine de pratiquants, soucieux d’un mieux-être dans toutes les situations rencontrées dans la vie, et pour une nouveauté, c’est plus qu’un succès d’estime», argumente-t-il.

Des événements ponctuent le calendrier tout au long de l’année. «Outre la nuit du combat que nous avons organisée dans le cadre du Téléthon, un stage d’Arnis Kali, un art martial philippin, s’est déroulé en novembre et la 3e édition de «Imagin’arts Masterclass» a regroupé 140 participants en provenance de 4 pays, un bel exploit pour Lionel Froidure et son équipe. Du reste, il n’est pas exclu de présenter à nouveau d’autres variantes de la discipline». Encore une facette de la diversification…